Il s’habille de mots pour paraître plus beau, se dépetit-mot-de-conteurise, flirte avec ses limites et « s’autoproclame tout seul » comme « candidat » .
Il virevolte, danse, et galope à la « quête du Râle », voudrait « ce mètre » à la place de l’autre, se fait sourcier devant le silence des mots.
Dans le grand cirque du monde, il poursuit son inlassable quête du cadre qui le mènera du conteur au clown.
Un spectacle « sur mesure », où tout est affaire de langages, de corps, d’objets, de maîtrise, de mesure et démesure, pour tenter de rencontrer les autres.